LA PENSEE DU LECTEUR

LA PENSEE DU LECTEUR

LA PENSEE DU LECTEUR du 02 AVRIL 20114

 

Bonjour Monique et bonjour à tous.

Suite à la Pensée de la Semaine de Monique.

J’aimerais apporter mes propres pensées empruntées à la sagesse de sa Sainteté le Dalai-Lama…..

Qui nous donne un éclairage sur le Monde ou nous vivons…..

A chacun d’y trouver sa reflexion propre sur ce texte…..

Bonne semaine à tous…..

Bisous à toi Monique…..Grandes pensées pour tes proches …Ainsi qu’à tous ceux que tu aides……

Jacques et Peggy

 

L’IMPORTANCE DE LA SOUPLESSE D’ESPRIT – ….

Extrait du livre :

Sa Sainteté LE DALAÏ-LAMA et HOWARD CUTLER – « L’ART DU BONHEUR ».

Il y a une relation de réciprocité entre la souplesse d’esprit et l’aptitude à changer de point de vue : un esprit souple aide à aborder les problèmes sous plusieurs angles et, à l’inverse, considérer les problèmes sous plusieurs angles revient en quelques sorte à exercer l’esprit à la flexibilité.
Dans le monde actuel, développer sa souplesse d’esprit n’est pas un exercise réservé aux intellectuels oisifs et complaisants : cela peut être une question de survie.

Sur l’échelle de l’évolution, ce sont les espèces les plus adaptables aux mutations de l’environnement qui ont survécu et prospéré.

La vie se caractérise aujourd’hui par des changements inattendus aussi subits que violents. La souplesse d’esprit peut aider à accepter les transformations
du monde extérieur. Elle peut aussi nous aider à accepter nos conflits intérieurs. nos inconséquences et nos hésitations.

Faute de cultiver la malléabilité de l’esprit, nous nous fragilisons et notre rapport au monde s’englue dans la peur.

En revanche, aborder l’existence en se montrant souple et malléable permet de conserver son sang-froid dans les situations les plus perturbées.
Ce sont nos efforts pour acquérir cette souplesse mentale qui alimentent la capacité de résistance de l’esprit humain.

Être souple, malléable, savoir s’adapter ne signifie pas qu’il nous faille tous devenir caméléons, nous imprégner du premier système de pensée qui se présente,
changer d’identité, absorber passivement toutes les nouvelles idées auxquelles nous sommes exposés.

Les étapes supérieures de la maturité et du développement dépendent du système de valeurs qui nous guide, qui confère à l’existence sa continuité et sa cohérence,
et permet de prendre l’exacte mesure de ce que l’on vit. Ce système de valeurs aide à décider quels objectif en valent vraiment la peine et si ce que l’on cherche a un sens ou n’en a pas.
Toute la question est de savoir si nous sommes capables de nous y tenir avec constance et fermeté, sans rien perdre de notre souplesse.

Le Dalaï-lama semble être parvenu en ramenant son système de pensée à quelques données fondamentales:

1| JE SUIS UN ÊTRE HUMAIN.

2| JE VEUX ÊTRE HEUREUX ET JE REFUSE DE SOUFFRIR

3| D’AUTRES ÊTRES HUMAINS, TOUT COMME MOI, VEULENT AUSSI ÊTRE HEUREUX ET REFUSENT DE SOUFFRIR.

En mettant l’accent sur les points communs plutôt que sur les différences, il finit par se sentir lié avec tous les êtres humains et cela le conduit à croire fondamentalement en la valeur de la compassion et de l’altruisme.
En recourant à la même démarche, on prendra simplement le temps de réfléchir à son propre système de valeurs pour le ramener, comme le fait le Dalaï-lama,
à ses principes élémentaires.

C’est cette aptitude à isoler les éléments les plus fondamentaux qui nous apporte la plus grande liberté, la plus grande souplesse face aux problèmes quotidiens.

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